jueves, 20 de diciembre de 2012

Amores hay tantos como mortales en la tierra



Intégré à l’Association CHISPA (Círculo Hispánico), l’Atelier Théâtre espagnol Lansad a pris le relais de l’Atelier Théâtre LLCE espagnol: en 15 ans, 17 spectacles de théâtre en espagnol ont été représentés à l’Université Stendhal! 7 étudiantes des filières LLCE espagnol, Lettres modernes et Traduction spécialisée vous présentent Amores hay tantos como mortales en la tierra (Il y a autant d’amours que de mortels sur la terre), une pièce inédite spécialement écrite pour elles par le dramaturge Santiago Serrano (Argentine, 1954): nous le remercions infiniment pour sa créativité, pour sa générosité à l’égard de nos étudiants et de notre université, pour l’amitié qu’il nous témoigne depuis plusieurs années et qui donne tout leur sens à nos missions pédagogiques et scientifiques.
Le dramaturge Santiago Serrano, qui est également psychologue, acteur et metteur en scène, est l’auteur d’une vingtaine de pièces jouées en Amérique latine et en Europe. L’Atelier théâtre espagnol de Stendhal met régulièrement en scène ses textes depuis 2005. Le dramaturge nous a fait l’honneur de venir en résidence à Grenoble en 2006, puis d’écrire pour les étudiantes de l’Atelier théâtre 2008-2009 la pièce Las hijas de Eva, remis en scène et joué depuis en Argentine. Et nous serons très heureux de l’accueillir à l’Université Stendhal les 9 et 10 avril 2013, à l’occasion du Colloque international « La révolution théâtrale dans le Río de la Plata » (ILCEA-CERHIUS).
Cette manifestation s’inscrit dans le cadre des recherches menées au sein de l’ILCEA (CERHIUS) sur le théâtre contemporain hispanophone. Publications, colloques, résidences de dramaturges, mise en scène de textes inédits, notre réflexion sur le théâtre s’enrichit dans ce dialogue entre auteurs et étudiants-comédiens, théorie et pratique, texte et scène, recherche et enseignement. En 2011, une réflexion collective sur l’apprentissage des langues par le théâtre a été amorcée à l’initiative de l’Inspecteur d’Académie/IPR Monsieur Maxime Lachèze et des IPR des différentes langues de l’Académie de Grenoble, offrant de nouvelles perspectives de valorisation et de promotion de la pratique théâtrale en langues étrangères au collège, au lycée et à l’université.


Amores hay tantos como mortales en la tierra


Quelles sont les différentes façons d’aimer ? Quelques personnages explorent les imaginaires contemporains de la relation amoureuse, croisant le burlesque, le romantisme et l’humour noir, relayés par quelques boleros, fil conducteur musical sur les joies et les souffrances de l’amour. Le procès de Cupidon s’annonce houleux: comment justifiera-t-il ses actes, et surtout, ses erreurs ? La juge n’a pas l’intention de se montrer clémente, et il faudra beaucoup d’arguments à notre héros pour la convaincre de son innocence, car les erreurs de trajectoire de certaines de ses flèches n’ont pas été sans conséquences…

Dans la scène 1 "Capullito de alelí", une jeune fille raconte, entre pudeur et passion, l’aventure d’un amour romantique, spirituel et charnel, porté par l’art musical. C’est l’histoire d’une professeur de piano, passionnée et solitaire, dont tout le monde disait qu’elle resterait vieille fille... jusqu’à ce que l’amour , sous les traits d’un charmant plombier, frappe à sa porte et l’emmène loin de son village et loin des conventions, dans un espace de liberté assumée.

La passion peut conduire à la fusion, comme le révèle une femme qui, lorsqu’elle aime, s’engage corps et âme dans une quête de l’absolu, dans le vertige de l’infini (scène 2: "Bésame, bésame mucho"). Mais comment son homme a-t-il pu lui échapper du jour au lendemain? Et pourquoi les hommes peinent-ils tant à s’engager? Élan mystificateur, sensoriel et poétique, léger et grave, l’amour alterne extases et déceptions au gré d’un idéalisme à toute épreuve.

Mais l’amour, ce peut être aussi l’ambiguïté de la possession, où pulsion de vie et pulsion de mort s’entrelacent inexorablement : la jeune femme aveugle de la scène 3 "Sombras nada más (Amor canino)" explore les méandres de l’âme humaine, en évoquant l’amour profond qui la (re)lie à son chien, jusqu’à mettre en péril son mariage avec José. Le sentiment amoureux se démystifie et se révèle dans sa dimension quasi animale… et mortelle.

L’amour est aussi le terrain de jeu privilégié de l’absurde, comme le montre cet imbroglio amoureux que la juge et Cupidon tenteront d’élucider tant bien que mal: lorsque la femme et la maîtresse d’un homme se rencontrent, leur dialogue ne peut être écrit à l’avance.

Au comble de l’indicible, l’amour est métamorphose et mutation: à une époque où les valeurs changent, où les repères s’effacent ou se déplacent, aimer, c’est marcher en équilibre sur un fil tendu au-dessus de deux abîmes. Lisa cohabite avec son compagnon et une autre femme, tous trois réunis en un seul corps. De séparations en réconciliations, entre complicité et rivalité, entrechocs et fluidité, la scène 4 "Dos almas" est le défi scénique d’un être à trois têtes lancé par Santiago Serrano, qui, comme il sait si bien le faire, nous invite à nous exercer, par le théâtre, à une gymnastique artistique et libératrice de la pensée.

La juge et Cupidon l’ont bien compris : le procès devait être exemplaire, il ne sera qu’atypique, déjanté, subversif et libre, à l’image de ces personnages dont l’identité est une féconde "connexion et déconnexion d’espaces" (Lévi-Strauss), le mouvement perpétuel d’une réinvention de soi dans et par l’amour. Car il y a autant d’amours que de mortels sur la terre…


La Fiscal: Nihad Mohamed Laamiri

Cupido: Elodie Sitaire

Escena 1: Capullito de alelí
Joven: Irène Bonhoure

Escena 2: Bésame, bésame mucho
Mujer: Andjali Cochet

Escena 3: Sombras nada más (Amor canino)
Joven ciega: Anna Larat-Lini

Escena 4: Dos almas
Lisa: Lisa Delorme
Cabeza 1: Maëva Harmand
Cabeza 2: Lisa Delorme

Mise en scène collective

Sous la direction de Cristina Breuil

et Gustavo Herrera González




http://amphidice.free.fr/Amore310512/index.html

martes, 18 de diciembre de 2012

CARNE GAUCHA- Comentario


El TeUNaM realizó la última función de Carne Gaucha




El sábado 15 de diciembre a las 22 hs, el elenco de teatro de la Universidad de Misiones presentó la última función de Carne Gaucha, la obra de Santiago Serrano que pusiera en escena de forma preliminar a fines del 2010, culminando así con una serie de exitosas presentaciones que lo llevaron a recorrer las salas de Posadas y las localidades de Eldorado, Puerto Rico y Piray; y cerrando con ello un año de actividades de extensión que contempla además de las funciones, una ardua labor de talleres, encuentros y muestras.


Con una buena afluencia de público, como por fortuna se esta volviendo habitual, la particular visión de la historia argentina en su periodo reciente que viene a representar la comedia escrita por Serrano, fue puesta una última vez en escena a cargo del elenco de la UNaM, con Carina Noemberg, Yessica Sotelo Sartoris y Sandra Aguirre en los protagónicos y bajo la dirección de Juan Carlos Staudt y Mónica Leal. Irónica, aguda y sagaz, la obra insufla vida al recuerdo de los sujetos y personajes más representativos de la vida política y social argentina de los últimos cien años, a partir de la sintonía lograda entre un libreto y una interpretación actoral apuntadas a componer una visión de la sociedad argentina en clave de sátira.

Valentín Plastino
vplastino@identidadurbana.com
redaccion@identidadurbana.com
http://www.identidadurbana.com/ampliar.php?id=637

domingo, 16 de diciembre de 2012

TALLER FESTIVAL INTERNACIONAL DE LA CULTURA- POTOSÍ 2012

Potosí, ciudad mágica y ancestral.
Transitarla es tomar contacto con la historia de nuestro continente.
Callejuelas, iglesias, plazas y, sobre todo, el Cerro que desde la altura es soberano sin corona.
El taller en ese ámbito fue inspirador e intenso. Cuatro mil cien metros de altura no es cosa sencilla.
Falta el aire, en el momento menos pensado, y llega la agitación. Cada palabra es un esfuerzo y ni que hablar del movimiento.
Un espacio inmenso y complicado el primer día. Eco y más eco, pero nada impidió el deseo de los integrantes y el mio propio. Trabajamos y trabajamos. Entrega de ambas partes. Confianza y solidaridad.
La visita de Evo Morales a la ciudad nos benefició, sin quererlo, y encontramos un espacio ideal para la tarea.
Agradezco profundamente a Juan José Amelier Flores y a los organizadores del Festival por la invitación.
Gracias a cada uno de los participantes del taller-
 

ALAMON MARIEL

ALCOBA IVAN
AMEZAGA CALDERON TELMA
ARANCIBIA LOPEZ ROBERTO
AURI IGNACIO
AVENDAÑO APAZA
CHAMBI QUISPE LEONCIO JOSE
CHURATA FLORES ROGER ANDREI
CONDORI FERNANDEZ AMANDA ISABEL
DELGADO PUMA MARCO ANTONIO
FANOLA MURILLO
FERNANDEZ GUTIERRES RAMIRO
FLORES CARDENAS ANTONIO
FLORES MACHACA ALEX
GARBIZU SORAIDE
GARCIA UGARTE NOELIA PATRICIA
GOMEZ GONZALES
IBIETA VILDOZO DANIELA
JUSTINIANO LAZCANO MARIAM
LOPEZ PEREZ ALAN MAURICIO
LOPEZ PEREZ GREGORI DANIEL
MAMANI
MAMANI CONDORI MARIBEL LETICIA
MAMANI RIVERA PAULO
MONTOYA ANAGUA FABIANA CECILIA
PEREIRA ARIAS
PONCE RODRIGUEZ JESUS HERLAN
RODRIGUEZ MAMANI DANIEL
ROLLANO TEJERINA PAMELA
TOLA LORETTA
VALLEJOS VIARNONT ARLETT
VARGAS POQUECHOQUE ARTURO
VEIZAGA LLANOS JHONY RILDO


viernes, 14 de diciembre de 2012

CARNE GAUCHA en Misiones


El TeUNaM, Programa de Teatro de la Universidad Nacional de Misiones, dependiente de la secretaría General de Extensión Universitaria presentará “Carne Gaucha”, de Santiago Serrano, mañana sábado a las 22, en la sala taller estudio de Rebollo 380, Posadas.
En el Bicentenario de la Nación, el Teatro de la Universidad presenta este espectáculo que…"Palabras más, palabras menos…." intenta con humor casi absurdo, mostrar las contradicciones de un país sin memoria.
Tres hermanas “iguales como tres gotas de miel” nos relatan la gesta histórica, radioteatro o en fin, historieta argentina de los últimos 100 años.

Elenco:

Carina Noemberg: Felicia
Sandra Aguirre: Milagros
Yessica Sotelo Sartoris: Raquel
Alcides Jaime: Romulado.
Daniela López: La Mucamita. Viejita.
Juan José Languasco: Hipolitos. El Cacho.
Juany Alzugaray: Tía Etelvina.
Fidel Pereira: Ferdinando.

Diseño de luces e iluminación: Gonzalo Velasco
Diseño y realización de banda de sonido: Gastón Hojman
Diseño y realización de utilería: Gonzalo Velasco
Sonido: Andy Wedekamper
Dirección y Puesta en Escena: Juan Carlos Staudt y Mónica Leal


sábado, 8 de diciembre de 2012

Materia sobre Dinossauros em Brasilia

Um texto simples e comovente

Por Geraldo Lima

http://baque-blogdogeraldolima.blogspot.com.ar/2012/11/um-texto-simples-e-comovente.html

A peça 'Dinossauros', do dramaturgo argentino Santiago Serrano, é de uma simplicidade total: apenas dois atores em cena, um cenário despojado, poucos objetos de cena (um banco de praça, um acordeon, uma sacola, uma garrafa de vinho, talheres), um único foco de luz (sugerindo a luz de um poste), pouca movimentação e diálogos marcados pelo coloquialismo, pelo tom bem natural. Um espetáculo que se sustenta, principalmente, na palavra e na atuação dos atores. Nesse caso, na belíssima atuação do ator Murilo Grossi e da atriz Carmem Moretzsonh, ambos de Brasília e do Grupo Cena. Vale ressaltar, aqui, a segura direção de Guilherme Reis, sem destoar do ritmo que o texto exige.

O que assistimos, em apenas uma hora de duração do espetáculo, é a vida acontecendo, no palco, com expressiva naturalidade: um homem e uma mulher se encontram em algum lugar da cidade, tarde da noite, e, a partir daí, vão se aproximando, dando cabo da solidão e do medo. Tudo isso se dá entre silêncios, risos, tentativas de fuga, de recuo e de reaproximação. O encontro entre os dois seres urbanos, cada qual com suas cicatrizes e seus sonhos, vai se consolidando aos poucos, num transe lírico (quase dionisíaco num momento), na medida em que vão se desnudando, se revelando, se entregando. O que acontecerá depois, assim que o dia chegar, ninguém sabe: aos dois, fica a certeza de que estão vivendo um momento intenso, que os arranca da solidão e do vazio. Se vai durar, impossível saber. Há a vontade de que dure, e isso já é um começo. Para os espectadores, como ponto de identificação, fica, talvez, a torcida para que continuem juntos, curando-se das suas feridas. Eis aí um texto simples na sua tessitura, mas de significado muito profundo.

Essa montagem da peça de Santiago Serrano, pelo Grupo Cena, já está em cartaz há bastante tempo e foi apresentada em vários locais do Brasil, sempre com muito sucesso. Aqui em Brasília, voltou a ser encenada e ficou em cartaz, no Teatro Eva Herz da Livraria Cultura, Shopping Iguatemi-Lago Norte, até o dia 25 de novembro. Para os que não tiveram a oportunidade de assistir a esse belo e comovente espetáculo teatral, fica a torcida para ele que volte a entrar em cartaz de novo.

martes, 4 de diciembre de 2012

Dinossauros em breve temporada no SESC - Pompeia- Sao Paulo

DINOSSAUROS

Texto: Santiago Serrano. Direção: Guilherme Reis. Com: Carmem Moretzsohn e Murilo Grossi. 55 min. Não recomendado para menores de 15 anos. A montagem de estreia do Grupo Cena tem texto do argentino Santiago Serrano e conta a história de dois solitários que se conhecem em uma madrugada e, aos poucos, estabelecem uma relação que passa do medo à intimidade. O grupo brasiliense, fundado em 2005, vem se caracterizando por montar textos inéditos no Brasil. Sesc Pompeia - espaço cênico. R. Clélia, 93, Água Branca, região oeste, tel. 3871-7700. 50 lugares. Ter. a sáb.: 21h30. Estreia em 4/12. Até 8/12. Ingr.: R$ 4 a R$ 16. d i n

martes, 6 de noviembre de 2012

Taller en el Festival Internacional de la Cultura de Potosí, Bolivia.

El FIC tendrá taller de interpretación teatral




El coordinador del área de teatro del Festival Internacional de Cultura (FIC 2012), Juan José Ameller, informó que los días 23 al 25 de noviembre se realizará el taller de interpretación teatral denominado “El actor como creador”.

El taller será dictado por el profesional dramaturgo y teatrista argentino Santiago Serrano, conocido en la actividad de coordinador de grupos, también es psicoanalista, licenciado en psicología de la Universidad de Buenos Aires.

Se recibe inscripciones en las oficinas del FIC en el centro cultural IV Centenario (calle Fortunato Gumiel). Tienen un costo de Bs. 50 con plazas limitadas y sólo se pide que los participantes lleven ropa que les facilite el trabajo corporal preparado para las tres jornadas, cada una de tres horas.

Se sabe que en el taller se explorarán y ahondarán los recursos propios de cada actor para potenciarlos y permitirles alcanzar su mayor plenitud creativa.

Tocarán aspectos sobre el cuerpo, voz, emoción y raciocinio, como elementos variables fundamentales que deben estar presentes para que el intérprete teatral pueda enfrentar y salir airoso en el desafío de encarnar en escena un personaje.

Según la concepción de Serrano, el teatro no es mera reproducción de lo cotidiano, requiere siempre de una poética que le de vuelo artístico y creativo.

Serrano es conocido por iniciar su carrera actoral en 1978 y su residencia actoral en el Conservatorio Nacional de Arte Dramático.


lunes, 29 de octubre de 2012

ELDORADO em Mostra Teatro do Gueto



Hoje com o EDUARDO OKAMOTO, em seu belo espetáculo ELDORADO.

Okamoto, de Campinas, já esteve no Clariô apresentando "A HORA DE NOSSA HORA", espetáculo que narra um pouco do que foi a vida dos meninos de rua que sofreram a chacina da Candelária. Trabalho lindo, sensível, que agradou muito quem viu.
Hoje ele nos traz um cego rabequeiro que direciona sua vida em busca de ELDORADO.
Vale a pena conferir!!

ELDORADO
HOJE : DIA 29 DE OUTUBRO ␣ SEGUNDA- FEIRA ␣ 20H
EDUARDO OKAMOTO - CAMPINAS/SP - Classificação - 14 anos
ENTRADA FRANCA!

Acompanhado por uma “Menina”, um cego busca encontrar o que nenhum homem pôde jamais: Eldorado. Toda estória se resume nisto: era uma vez um homem que procura. Nos tempos e lugares da viagem, haja espaço para humanidades – travessia “Eldorado” encena a história que usualmente se desconta: descartada à primeira vista. O espetáculo nasce da observação da realidade, da interação com construtores e tocadores de rabeca, instrumento de arco e cordas, parecido com o violino, presente em muitas manifestações da cultura popular do Brasil. Desta maneira, procurou- se exercitar o olhar, encontrando no cotidiano os pequenos acontecimentos poéticos. Entre as margens da estória e da história, “Eldorado” procura recriar realidades.

Assim, possamos recriar a nós mesmos. Em pesquisas de campo nas cidades de Iguape e Cananéia (litoral sul de São Paulo), o ator Eduardo Okamoto visitou rabequeiros, recolhendo causos, músicas, ações, gestos, vozes. Assim, codificou um repertório atoral que serviu de base à criação dramatúrgica. O premiado dramaturgo argentino Santiago Serrano partiu destes materiais primeiros para criar um texto inédito. No fim da jornada, o diretor Marcelo Lazzaratto (da Companhia Elevador de Teatro Panorâmico) orquestrou estas criações de ator e autor.

“ Eldorado” fala destes territórios de viagem. Ali, onde o viajante é atravessado enquanto atravessa geografias. Ali, onde todo homem é único e igual a todos os demais.

Por sua atuação em “Eldorado”, Eduardo Okamoto foi indicado ao Prêmio Shell de Melhor Ator 2009.

FICHA TÉCNICA: Concepção, pesquisa e atuação: Eduardo Okamoto Dramaturgia: Santiago Serrano Direção e Iluminação: Marcelo Lazzaratto Figurino: Verônica Fabrini Preparação em rabeca e Trilha Sonora Original: Luiz Henrique Fiaminghi Fotografia: Fernando Stankuns Orientação: Suzi Frankl Sperber Produção: Daniele Sampaio Duração - 60 min.


jueves, 18 de octubre de 2012

“ELDORADO” em Araçatuba


Eduardo Okamoto apresenta o solo “Eldorado” no Festara – Festival de Teatro de Araçatuba. O espetáculo é dirigido por Marcelo Lazzaratto e tem dramaturgia de Santiago Serrano. A apresentação é parte da programação do Festara 2012 – Festival de Teatro de Araçatuba e acontece no Teatro Castro Alves, às 20h30
O Festara – Festival de Teatro de Araçatuba é uma realização da Prefeitura Municipal de Araçatuba, por meio da Secretaria de Cultura, com o apoio do SENAC Araçatuba, SESC – SP e Secretaria de Estado da Cultura.

Em 2011, o festival teve 25 peças foram encenadas. Companhias e grupos teatrais paulistas, do interior e da capital, assim como dos estados de Goiás, Rio de Janeiro, Paraná, Paraíba e Santa Catarina estiveram presentes, celebrando as artes cênicas e provocando um exercício de reflexão sobre a cultura.

“Eldorado” foi criado a partir de estudos de Eduardo Okamoto sobre a tradição da rabeca – instrumento de arco e cordas, como o violino, presente em muitas manifestações da cultura popular do Brasil. A partir destes estudos, o premiados dramaturgo argentino criou uma texto inédito. Ali, conta-se a fábula de um cego que, acompanhado por uma “Menina”, busca encontrar o que nenhum homem pôde jamais: Eldorado.

Depois de um longo processo de estudo e criação dramatúrgica (aproximados três anos), o diretor Marcelo Lazarrato lapidou as criações de ator e dramaturgo, conferindo forma final ao espetáculo. Assim, procurou universalizar os estudos de Okamoto que, inicialmente, pautava-se em relações regionais (a rabeca e os rabequeiros). Neste lugar atemporal, propício ao maravilhamento, o personagem cego da fábula é todo homem e o Eldorado é a busca humana pelo seu bom lugar.

Serviço:

“Eldorado” em Araçatuba

22 de outubro, às 20h30

Teatro Castro Alves

Duque de Caxias, 29 – Centro

(18) 3608-1176

Ingressos gratuitos

miércoles, 17 de octubre de 2012

DINOSAURIOS estrena en el Festival de Miami.



Por Max Barbosa - www.TeatroenMiami.com

Santiago Serrano (Argentina, 1954), es dramaturgo, teatrista, psicoanalista, y coordinador de grupos en la Escuela de Psicodrama de Tato Pavlovsky. Inició su carrera actoral en 1978, realizando estudios teatrales con Manel Barceló (España), Williams Wilcox Horme ( USA), Enrique Buenaventura (Colombia), Arístides Vargas (Ecuador) y Augusto Boal (Brasil). En 1991, con Dinosaurios, obtiene el premio a la Mejor Obra Original en el Festival de Teatro del Centro Cultural Gral. San Martín, en Argentina. Se estrenó en Nueva York por el grupo IATI en el 2004. Un año después se presenta en Brasilia por Grupo Cena, en los festivales de Londrinas y San José de Rio Prieto. Dinosaurios subirá a escena, por primera vez en Miami, como parte de TEMFEST 2012 el próximo 19 de octubre en Havanafama. Actúan, Maddy Rivera y Osvaldo Strongoli quien también asume la dirección. Con él dialogué acerca de la obra:

Santiago Serrano es un dramaturgo que se debe tener en cuenta por la calidad de sus obras. Independientemente de esta cualidad, ¿prefieres los autores argentinos?

Prefiero los textos con mensajes humanos, que muevan al espectador a dimensiones donde encuentren que los valores básicos no se han perdido y nazca en ellos una esperanza de vida. No tiene que ser necesariamente argentino, fíjate que a Santiago Serrano me lo propuso mi compañera de escena, la excelente actriz Maddy Rivera y ella es de Puerto Rico. Por otra parte pienso ahora que me lo preguntas, que la forma de escribir de Serrano de alguna manera me debe resultar muy familiar por haberme criado en Argentina, su país de origen.

En la política el concepto " dinosaurio" deviene en aquellos gobernantes que no aceptan el decursar del tiempo, atrincherándose en posiciones anacrónicas. Los personajes de Dinosaurios ¿no corren el riesgo de ser percibidos por el público de la misma manera?

Si los que asistirán a verla son tan apolíticos como yo, no creo y si lo hacen, tiene bastante que ver con la postura que tomaron en su vida estos dos personajes que podrían haber cambiado su presente con solo haber tenido sentido común. Algo que muchos políticos desconocen.

”El conflicto de Dinosaurios es un tema recurrente: la soledad, el vacío, dos seres que encuentran en una estación de tren de madrugada, cada cual con sus crisis, sus miedos, sus dudas y complejos", reza la nota informativa. Si la recurrencia es tal en nuestras sociedades ¿Qué hace original a estos dinosaurios?

No buscamos ser ni originales ni innovadores, queremos mostrar una realidad en escena que se ha descuidado por como tú dices, "lo recurrente" Opino que esta obra es como el tema del medio ambiente, sabemos que lo estamos dañando pero no nos acordamos de no dejar de correr el agua o apagar la luz cuando no la necesitamos. En Dinosaurios creo que Serrano, muy sutilmente, nos está enseñando cómo rescatar lo puro y noble dentro de tantas contrariedades que la vida nos propone.

Actuar en la misma puesta que se dirige, sobre todo si el personaje es protagónico como es tu desafío, requiere desdoblarse en actor y director. ¿Cómo lo logras?

Es una pregunta inteligente digna de quien conoce este oficio. La respuesta es sencilla: le falté el respeto al teatro y subestimé a mis colegas directores. Siempre he pensado que un actor debe ser dirigido por un director que pueda ver desde afuera la fotografía, el sentimiento y el balance de una escena. Pero no pasa por egocéntrico, sino por práctico. Los tiempos de ensayos son muy cortos y a la hora de combinar horarios resulta que a menor grupo de integrantes en el proyecto, más ensayos. Por otra parte, antes de ser director soy actor y ello me ha permitido conocer al pie de la letra como recibe el espectador lo que se muestra en escena. He vivido en carne propia la comunicación que se produce en cada movimiento, en cada respiro de un actor y sigo ese instinto que me ha dado muy buenos resultados a lo largo de mi carrera.

¿Comedia romántica? ¿El humor surge entre el drama que arrulla a los personajes?

Un mensaje serio no es recibido por el espectador si este se encuentra tenso en su silla; esto Serrano lo entiende y propone a estos dos personajes que muestran sus dramas tan pasionalmente que causan risa. Es el humor irónico, si puede llamarse así; por ejemplo, si tú ves a una mujer que se sube a una silla a gritos porque vio una rata a lo mejor te causa mucha risa pero a esa mujer esa situación pudo haberla marcado para toda su vida. Disculpa lo simple del ejemplo, lo que quiero hacer entender es que la obra es muy graciosa pero es la antesala de un mensaje de amor.


OCT 19/ 20/ 21 (VIERNES y SABADO 8:30 PM /DOMINGO 5 PM) – En HAV - Havanafama Teatro Estudio: 752 SW 10 Ave. Miami

Gala: DINOSAURIOS

Escrita por Santiago Serrano y dirigida por Osvaldo Strongoli.

Dos almas que se encuentran en un andén, se buscan sin saberlo bien y terminan en la alegría de encontrarse, llega a través de un diálogo que contiene todos los matices de la creciente intimidad.

Con las actuaciones de Maddy Rivera y Osvaldo Strongoli.

lunes, 15 de octubre de 2012

DINOSSAUROS restreia em Brasilia



O espetáculo que inaugurou o Espaço Cena, em Brasília, que promoveu a estreia do autor argentino Santiago Serrano no Brasil, que deu origem ao grupo Cena e que já foi encenado em vários estados brasileiros e no exterior volta a Brasília para uma longa temporada. DINOSSAUROS, destaque em todos os festivais dos quais participa, poderá ser visto no Teatro Eva Herz da Livraria Cultura do Shopping Iguatemi, de 3 a 25 de novembro, sempre de sexta a domingo – sexta e sábado, às 20h30, e domingo, às 19h. Classificação etária: 12 anos.

Um banco, uma luz e dois atores. Isso é o suficiente para criar a atmosfera de DINOSSAUROS, que tem encantado o público de várias cidades com sua simplicidade e singeleza. Sob direção de Guilherme Reis, estão em cena Carmem Moretzsohn e Murilo Grossi, na pele de dois solitários desconhecidos que, na madrugada de uma grande cidade, se encontram e aos poucos estabelecem uma relação que vai do medo ao companheirismo, chegando sutilmente a uma situação de intimidade entre si e com o público. As angústias, as crises, as irrecuperáveis quedas, a tensão dos tempos e das gerações, a convivência desencontrada de cada um de nós, anjos caídos que somos, comovem e emocionam.

DINOSSAUROS marcou a estréia no Brasil da obra do dramaturgo argentino Santiago Serrano. Desde então, a peça vem participando dos mais importantes festivais do país, como Festival Internacional de Londrina, Festival Brasileiro de Teatro de Itajaí, Festival Internacional de Teatro de São José do Rio Preto, Festival Nacional de Teatro de Recife, Festival Nacional de Teatro de Vitória, Festival Internacional de Artes Cênicas da Bahia (FIAC Bahia) e o Festival Internacional de Teatro de Dourados. Além disso, fez temporadas no Espaço SESC, no Rio de Janeiro, no SESC de Araraquara (SP) e no Espaço CPFL, em Campinas (SP). Recentemente se apresentou em Goiânia, Buenos Aires, na Argentina, Fortaleza, Belo Horizonte, São João del Rei e Ribeirão Preto, sempre com excelente público – em 2013, já tem convite para o Festival de Havana, em Cuba.

Ao longo de sua carreira, Dinossauros tem recebido críticas sempre elogiosas por parte de alguns dos mais importantes críticos teatrais do País, como Kil Abreu, Beth Néspoli, Edelcio Mostaço, dentre outros.

jueves, 11 de octubre de 2012

CARNE GAUCHA- Crítica en Misiones - Argentina


El teatro de la UNaM presentó Carne Gaucha en el Vicente Cidade

Con un despliegue técnico y una actuación impecables, el teatro de la Universidad de Misiones (TEUNaM), presentó el sábado 22 de setiembre la obra Carne Gaucha de Santiago Serrano, en el Centro Cultural Vicente Cidade de Posadas.

De la mano del elenco de teatro de la Universidad de Misiones, la comedia del multipremiado dramaturgo argentino Santiago Serrano, volvió a cobrar entidad ante un público considerable que ocupó el sábado pasado la sala Horacio Quiroga del Centro Cultural Vicente Cidade de la ciudad de Posadas.

Pleno de humor e ironía, el libreto se vio acompañado de sutiles pero eficaces efectos lumínicos y de sonido, y un buen vestuario y maquillaje, que resaltaron delicadamente el carácter de los personajes y las escenas de mayor dramatismo. La representación en los protagónicos de Carina Noemberg, Sandra Aguirre y Yessica Sotelo Sartoris sigue notablemente encaminada hacia una búsqueda de la excelencia actoral. Se destaca además, la actuación de Juanjo Languasco en los papeles de Hipólito y El Cacho.

La obra narra las aventuras y los padecimientos de tres hermanas pertenecientes a una familia tradicional, cuya vida se ve atravesada por los más convulsionados años de la historia argentina. Bajo la dirección de Juan Carlos Staudt y Mónica Leal, el TEUNaM transita con esta pieza el terreno de la sátira en referencia directa a las tensiones sociales e ideológicas que condicionan la vida política y cultural en el plano nacional y local, y se distancian un poco de la temática antropológica y de carácter experimental que ha caracterizado siempre al teatro independiente en Misiones.

Valentín Plastino




martes, 2 de octubre de 2012

YOCASTA en Mendoza.

Yocasta: Mujer de tragedia y fuego


El próximo viernes 5 de octubre, el Teatro Luis Encio Bianchi de Rivadavia será el escenario de la presentación de “Yocasta” , obra trágica del dramaturgo y psicoanalista Santiago Serrano. Psicoanalista y escritor, Serrano es de Buenos Aires, y escribió una obra poética teatral basada el este personaje tan fuerte de la tragedia de Sófocles:”Edipo”.

En  esta puesta Yocasta es mostrada en su propia tragedia, la de recibir la marca del destino: perder a un hijo condenado a al crimen, reencontrarlo luego de enviudar sin saber quién es y enamorarse de él hasta ser su mujer y madre de sus hijos, descubrir la verdad y afrontar el horror de las consecuencias con una enorme valentía, lucidez y juicio, mientras que en la obra original, recibe con pasividad todo lo que le acontece y sólo se muestra el drama de Edipo pero no el de ella.

En Rivadavia, la actriz y directora de teatro: Roxana Martínez, toma la obra de Serrano y hace algunas adaptaciones del texto junto a la actriz Romina Sejas y decide la apuesta fuerte de presentar “Yocasta”: “Un sueño que tenía desde hace unos años y que hoy cuaja en la realidad, con un elenco comprometido y en el momento justo en que debía hacerse”.

“El elenco lleva seis meses de trabajo intenso, los actores han aportado mucho a los personajes, pues la obra original de Serrano no cuenta con acotaciones para ellos, el trabajo de interpretación y de vuelco de experiencias vitales propias de los actores hace que la actuación tenga un desafío enorme-nos dice Roxana- la obra me gustó y quise resaltar en ella la valentía de la mujer ente los dramas, su actitud de asumir elecciones y las consecuencias, la posibilidad de vivir el amor desde distintos aspectos: madre, esposa y amante, con aciertos y errores y con fortaleza hasta el fin”.
La puesta es modesta, con una estética simple y orgánica, con detalles griegos en el vestuario, telones y música, lo que se resalta es el texto y la interpretación, llegar al público para dejarlo pensar, movilizarse, conmoverse y disfrutar de la belleza mágica de la realización teatral.

El Estaff está compuesto por: Dirección: Roxana Martínez; Actores: Yocasta: Romina Sejas; Edipo: Juan Flores; Layo: Germán Lucero; Pitonisa: Mirta Ponce; Criada: María José Romero.

Invitamos al público rivadaviense y del este a apoyar al teatro local, este viernes próximo a las 21:30 has, con una entrada de un valor de 30 $.

http://www.rd.gov.ar/index.php/gestion-de-noticias/ver-noticias/1-latest-news/5123-yocasta-teatro-para-sentir-y-valorar.html

lunes, 1 de octubre de 2012

Taller de Dramaturgia en Pasaje de Teatro Correa 2012

Pasaje de Teatro- Correa 2012

“Construyendo Textos”

Coordinador: Lic. Santiago Serrano

Durante el desarrollo del mismo se promoverá la construcción de textos dramáticos en un proceso de intercambio constante entre el espacio escénico y la escritura.
Se estimulará firmemente en cada etapa del taller el trabajo grupal, por considerar al teatro como un fenómeno absolutamente grupal.
Participantes: Podrán contar o no con experiencia previa en la escritura. Poetas, autores, actores, directores, iluminadores, bailarines, etc.
Metodología: Se desarrollará en una jornada de 4 horas.
Lugar: Escuela 254
Día: 29 de Septiembre

Hora: 9:30 a 15:00 – (incluye almuerzo oportunidad única que brinda “Pasaje de Teatro” para experimentar la dramaturgia).

martes, 25 de septiembre de 2012

Taller de dramaturgia en Campinas


Campinas (Sao Paulo), ciudad misteriosa de mi infancia.

La imaginaba cubierta de una selva espesa con arboles gigantes que traspasaban al propio cielo. El avión, donde volaba mi papá, estrellándose contra sus ramas y explotando iluminando la madrugada. Yo huérfano con sólo seis años. Él viajaba, por su trabajo de arquitecto, a conquistar nuevos rumbos.

Juro que, en aquel tiempo, jamás pensé en llegar algún día a conocer Campinas. Es más, creo que era el último lugar de la tierra para visitar.

La vida siempre nos da oportunidades inesperadas, afortunadamente, y un buen día en Brasilia, una ciudad que por su arquitectura memorable siempre me ha hecho pensar en mi padre, gracias a Guilherme Reis me encontré asistiendo al maravilloso espectáculo de Eduardo Okamoto “Agora e em nossa hora”

Cuando supe que él venía de Campinas, me recorrió una profunda emoción. Se estableció un cálido contacto desde el primer momento en que nos vimos. Yo me dije; “conocí a alguien que vive en la ciudad donde murió mi padre”. Me asombró pensar que de esa tierra de arboles gigantes, siempre ligada a la muerte en mis pensamientos, viniese un artista con una vitalidad y una pasión arrolladora.

Pasó algún tiempo después de ese encuentro. No supe nada más de Eduardo, hasta que un día me llego un email de él donde me invitaba a un proyecto demencialmente maravilloso. Quería que escribiese un monólogo para él, en portugués, sobre un hombre ciego que recorre el Brasil en busca de Eldorado.

Escribí el monólogo en un ida y vuelta constante de mensajes a Eduardo. Cada paso que daba en la escritura era caminar en la oscuridad. Ciego, era yo. Ciego de lengua.

El 17 de octubre de 2008 soy invitado al estreno de la obra en Campinas. La ciudad terrorífica de mi infancia se convierte en el lugar donde estreno mi primer obra escrita en portugués. Pasé una semana en un barrio maravilloso, Barao Geraldo, donde conviven varios grupos de investigación y producción teatral. Tuve la oportunidad de ir hasta el lugar exacto en dónde murió mi padre, pero sentí que no era necesario. ¿Para qué? Aquellos días sentí tan cerca a mi padre. Y lo maravilloso es que volvía en un territorio lleno de creatividad y vida.

Pero este no iba a ser mí único encuentro con Campinas. Regreso en agosto de 2012 al Sesc de Campinas, donde se estrenó la obra, para dar un Taller de Dramaturgia gestionado por la maravillosa productora Daniele Sampaio. Me encuentro con un grupo deseoso de compartir e intercambiar experiencias. Integrantes con muchísima trayectoria y otros comenzando en esta actividad.

Equilibrio- Desequilibrio, ambos necesarios para concretar y re-lanzar nuestro impulso creativo. También para crear un espacio de confianza. Interacción con un “otro” que sea socio en ese proceso y en la exposición, que implica mostrar nuestro trabajo.

Textos escritos de a dos, para compartir con todos. Mi fantasía choca contra los límites que me pone la fantasía del otro y esto me provoca enfrentarme con lo imprevisto y lanzarme por caminos impensados.

Textos escritos con consignas pautadas. ¿Cómo convivir con una estructura y no morir en el intento? Textos llenos de imaginación que crean espacios cotidianos, fantásticos, siniestros… Animales que aparecen e inyectan vitalidad al texto. Hay algo que late en el espacio. Algo inmanejable para nuestra razón.

El taller fue intenso y bello como los textos (embriones) que se produjeron.  Ojalá, lleguen a ser piezas teatrales.

Gracias, a todos los integrantes, por permitir crear un clima de trabajo maravilloso y por estar dispuestos a compartir, conmigo y los demás, su potencial creativo.

Campinas, cada vez, es una ciudad más luminosa para mí.

Hasta pronto.

Agosto 2012

viernes, 21 de septiembre de 2012

ENTRE NOS- Comentario de Rosilene Cordeiro en español


Acá "Entre nos"...

Apreciado Santiago,

El texto es simple y fluido.

Demasiado simple, como expresivamente profundo en la densidad de sus aristas subyacentes. Tal vez sea a eso se deba, la amplitud de su fluidez.

Dos mujeres distintas, urbanas, en una cierta ocasión común. En diferentes conversaciones tejidas en un diálogo blando, milimétrico y casual, y no por eso vano y fugaz.

Laura y Leonor recorren mundos... antes, los de ellas separadamente, para después avistar un encuentro posible en el momento que comparten un banco de plaza- banal para el mero espectador que pueda verlas, tal vez!- pero que da escenario metafórico al mundo y a sus sobrentendidos elementos modernos, que ellas cargan consigo para sostener sus verdades.

Leonor y sus bagatelas guardadas, Laura y sus conquistas contemporáneas en ascenso. Mujeres embebidas de historicidad, tragadas por la vida que les toco vivir. Ambas renuentes al principio, pero lentamente motivadas por la necesidad de cambiar palabras aunque, inicialmente, con marcada tirantez.

Vida profesional y familiar, rutinas, sentidos, vacios, itinerarios, aspiraciones y miedos son hablados de forma cotidiana con finura singular, en la cual la métrica poética deja tejer paisajes que van surgiendo, uno a uno, para adornar la acción que ahí se instaura; una acción que lleva a festejar los devaneos compartidos de las damas que conversan interrumpidas, de vez en cuando, por el "ruido del tren que relaja".

Dije simple, no fácil, porque así comprendo el texto que ahora tengo en mis manos.

Su escritura me impresionó, aprisionó y remitió a decirle la alegría de compartirlo conmigo e Iracy. Esa colega actriz en quien también me veo reflejada por la fuerza que nos mueve a hacer lo que hacemos con total desprendimiento en el ansia de contribuir a esa historia que ahora tejemos en la escena teatral de esta ciudad continental, que hoy se siente honrada en recibirlo.

Agradecida por el texto y por la posibilidad de diálogo.

Feliz por su dramaturgia humanamente cruda, osada, leve y merecidamente loable en este momento en que el mundo tiene olvidada la importancia de estar con alguien, presencialmente. Agradecida por su escrito que nos devuelve y ayuda encontrar nuestro “banco” en la vida, lugar de disputas ideológicas y de algunas lamentaciones casuales, por cierto, pero sobre todo, de acogimiento, intimidad, dualidad emocional y realización personal con vistas a un "hasta mañana" con la sensación que la vida sigue y nos vamos con ella en busca de nosotros mismos.

Que bueno que la vida nos brindó este encuentro.[...]

Muy agradecida a Carlos Correia Santos y a Hudson Andrade que nos permitieron ese brindis colectivo.

Llegue bien. Entre y siéntase confortable, como en su casa!

Rosilene Cordeiro.

martes, 18 de septiembre de 2012

ENTRE NOS- Lectura dramática en Belem

Belém, una ciudad mágica, me recibió con los brazos abiertos. Todo surgió por la iniciativa de Hudson Andrade y Carlos Correia Santos, dos maravillosos artistas de esa ciudad, que posibilitaron mi llegada para participar en el I Encuentro Dramatúrgico de Argentina-Brasil en Belém.
Un taller para actores, del que ya escribí, y el loco intento de realizar un montaje de mi obra Entre Nos, traducida por Ester Abreu Vieira de Oliveira,  con dos actrices de Belém. Sólo dos encuentros y un ensayo general. Una locuraaaa

Así estaba aquel primer día.



Dos magníficas actrices, Rosilene Cordeiro e Iracy Vaz, se atrevieron a enfrentar el desafío.  Trabajamos sobre el texto, en primera instancia, modificando algunas cuestiones temporales y propias de la ciudad donde se representaría. La obra se perfumo de aroma de Brasil. Nos atrevimos a muchas cosas en esas dos jornadas de trabajo. Improvisamos la obra, cambiaron de roles...


Llego el día del "estreno" y un enorme diluvio cayó sobre la ciudad. Siempre la lluvia me acompaña en momentos fundamentales de mi vida. Nací con lluvia. ¿Será por eso?



El banco esperaba que Laura y Leonor volvieran a la vida. Llegaran a Belém.



Dos soledades se descubren y dejan de lado sus máscaras. Un trabajo lleno de sutilezas y juego, pese a tener que tener el texto en mano. El público aplaudió y expresó su emoción. Logramos, mágicamente, dar a luz la obra.
Gracias, Rosilene e Iracy.
Gracias, Carlos Correia y Hudson Andrade.

Comentario sobre la obra, en portugués, de Rosilene Cordeiro.


Cá "Entre nós"...

Prezado Santiago,

O texto é simples e fruido.

Demasiadamente simples, como é expressivamente fundo de densidade em suas camadas subjacentes. Talvez se justifique nisso a amplitude de sua correnteza.
Duas mulheres distintas, urbanas, numa certa ocasião comum. em diferentes interlocuções tecidas num diálogo brando, milimétrico e casual e nem por isso morno e fugaz.
Laura e Leonor percorrem mundos... antes, os delas em separado, para depois avistarem um encontro possível na parte do trajeto que se instaura num banco de praça- banal ao mero expectador passante, talvez!- mas que dá-se a cenário metafórico do mundo e seus sobrepostos elementos hodiernos que elas carregam consigo na forma de suas verdades.
Leonor e suas bugigangas guardadas, Laura e suas conquistas contemporâneas em ascensão. Mulheres embebidas de historicidade, tragadas pela vida que lhes coube viver. Ambas relutantes a princípio, mas lentamente fisgadas pela necessidade de palavras trocadas ainda que, primeiramente, entre notório desalinho.
Vida profissional e familiar, rotinas, sentidos, vazios, itinerários, aspirações e medos são vasculhados de forma cotidiana com finura singular, na qual a métrica poética deixa-se tecer por paisagens que vão surgindo, uma a uma, para enfeitar a sala que ali se instaura; uma sala que se enfeita para festejar os devaneios compartilhados das damas que conversam interrompidas, vez ou outra, pelo "ruído do trem que relaxa".
Disse simples, não fácil, porque assim compreendo o texto que ora tenho em minhas mãos.
Sua escrita me impressionou, aprisionou e remeteu a dizer-lhe dessa alegria de compartilhá-lo comigo e Iracy, essa colega atriz em que também me vejo refletida pela força que nos move a fazermos o que fazemos com total desprendimento na ânsia de contribuir com essa história que ora tecemos na cena teatral desta cidade continental e que, hoje, se sente honrada em acolhê-lo.
Grata pelo texto e por seu lado nesse diálogo.
Feliz por sua dramaturgia humanamente crua, ousada, leve e merecidamente louvável nesse momento em que o mundo tem esquecido a importância de estar com alguém, presencialmente. Agradecida por sua escrita que nos devolve ao lado de quem nos ajuda a encontrar o nosso "banco" na vida, lugar de disputas ideológicas e algumas lamentações casuais, por certo, mas, sobretudo, de aconchego, intimidade, dualidade emocional e realização pessoal com vistas a um "até amanhã" com sensação que a vida segue e nós vamos com ela em busca de nós mesmos.
Que bom que a vida nos brindou com esse encontro.[...]
Muitíssimo grata ao Carlos Correia Santos e ao Hudson Andrade que nos oportunizaram esse brinde coletivo.
Chegue bem. Entre e sinta-se confortável, a casa é nossa!
Rosilene Cordeiro.
(Belém/ PA, 19/08/2012)

http://rosileneporsimesma.blogspot.com.ar/2012/08/ca-entre-nossaudacao-santiago-serrano.html

sábado, 15 de septiembre de 2012

ELDORADO no 1º Festival de Teatro de Taubaté


1º Festival de Teatro de Taubaté: Festival começa sábado com espetáculo convidado
Público poderá conferir monólogo que recebeu indicação ao Prêmio Shell de Melhor Ator
O monólogo “Eldorado” com Eduardo Okamoto é a peça de abertura do 1º. Festival de Teatro de Taubaté, com entrada franca, neste sábado às 20h, no Teatro Metrópole.
No enredo, um cego, acompanhado por uma ‘menina’, busca encontrar o que ninguém nunca conseguiu - o Eldorado. A busca incessante de um homem nos tempos, viagens e espaços de uma humanidade. Uma eterna travessia.

O espetáculo nasceu da observação e da pesquisa de campo do próprio ator com construtores e tocadores de rabeca nas cidades de Iguape e Cananéia (litoral sul de São Paulo), instrumento de arco e cordas, parecido com o violino, presente em muitas manifestações da cultura popular do Brasil.
A partir desta convivência, procurou exercitar o olhar, encontrando no cotidiano os pequenos acontecimentos poéticos. Assim, codificou um repertório atoral que serviu de base à criação dramatúrgica. O premiado dramaturgo argentino Santiago Serrano partiu destes materiais para criar um texto inédito e o diretor Marcelo Lazzaratto, da Companhia Elevador de Teatro Panorâmico, orquestrou estas criações de ator e autor.
Todo este trabalho de pesquisas e vivências não originou somente o espetáculo, como também constituiu a tese de Doutoramento em Artes de Eduardo, realizado na Universidade Estadual de Campinas (UNICAMP), propondo justamente uma dramaturgia de ator fundada na pesquisa de circunstâncias locais, o que ele chamou de dramaturgia de ator na intracultura, ou seja, a criação de uma dramaturgia na vivência de especificidades.
Para Eduardo, “o espetáculo fala destes territórios de viagem, onde o viajante é atravessado enquanto atravessa as geografias, e onde todo homem é único e igual a todos os demais”. Por sua atuação em “Eldorado”, Eduardo Okamoto foi indicado ao Prêmio Shell de Melhor Ator 2009.
“ELDORADO”
Local: Teatro Metrópole - Entrada Franca
Endereço: Rua Duque de Caxias, 312, Centro Tel: 3624-5915.
Data: 15/09/2012 (sábado) Horário: 20h00
Por Aldy Coelho



martes, 11 de septiembre de 2012

Oficina O ATOR EM SEU LABiRINTO, na mágica Belém



A oficina em Belém, O ATOR EM SEU LABIRINTO,  aconteceu entre os dias 21 e 23 de agosto de 2012. Foi um tempo de muito trabalho e de uma grande entrega por parte de cada um dos participantes. Intimidade, paixão, sinceridade e muita alegria foram os sentimentos que acompanharam nosso trabalho. Cada um, com muito coragem, procurarao transitar os limites da sua propia criatividade para poder transitar novos caminhos.



Obrigado a todos os integrantes pelo trabalho e pelo carinho.  


Camila Costa
Edielson Shinohara
Hudson Andrade
Iêrêcê Corôa
Jorge Oliveira
Kauan Amora
Léo Andrade
Lua Miranda
Nailce Ferreira
Sttefane Trindade
Tainá Coroa
Tainá Lima
Taires Pacheco
Teodoro Negrão
Uriel Pinho
Jean-Paul Lopez
Gil Ganesh
Ingra Travassos
Wanderson Neves
Augusto Carvalho
Rosa Maria Sales
Augusto Cezar

Obrigado, Carlos Correia Santos e Hudson Andrade, por fazer possivel este mágico encontro. Obrigado, Teatro Cláudio Barradas e Escola de Teatro e Dança da UFPA.  

martes, 4 de septiembre de 2012

ELDORADO em Salvador- Bahia.

Eduardo Okamoto no Filte, em Salvador

Eduardo Okamoto apresenta “Agora e na Hora de Nossa Hora” e ”Eldorado” no Festival Latino-Americano de Teatro da Bahia.
O Festival Latino- Americano de Teatro da Bahia – Filte terá, em 2012, a sua quinta edição e objetiva, como sugere seu nome, intercambiar experiências entre artistas oriundos da América Latina e o público baiano. E, considerando a gênese de formação desta porção do globo terrestre, o festival ainda programa trabalhos de Portugal e Espanha, tornando, enfim, o evento ibero-americano.
Em 2012, o evento acontece entre os dia 01 e 09 de setembro de 2012, estendendo-se por 13 espaços de Salvador e Lauro de Freitas. Em sua programação, totalizam-se 60 apresentações.
Nesta edição, além de espetáculo, eventos paralelos acompanharão o festival: o Colóquio Internacional de Recepção Teatral com convidados de Cuba, Estados Unidos, México, Argentina, Rússia, Alemanha, Brasil; o Nortea 2012 (Núcleo de Laboratórios teatrais do Nordeste); um Mutirão de Critica Teatral e a 1ª Mostra Internacional de Teatro Baiano.
Eduardo Okamoto participa do Filte com dois espetáculos solos. No dia 04 de setembro, às 21h, no Teatro Martim Gonçalves, Okamoto apresenta “Agora e na Hora de Nossa Hora”. O solo tem direção de Verônica Fabrini e trata da vida de meninos de rua, especialmente da Chacina da Candelária.
No dia 05 de setembro, será apresentado “Eldorado”, também no Teatro Martim Gonçalves, às 18h.
O trabalho solo tem dramaturgia de Santiago Serrano e direção de Marcelo Lazzaratto.
Na fábula, um homem cego, acompanhado por uma “Menina” busca o seu bom lugar: “Eldorado”.
Serviço:

“Agora e na Hora de Nossa Hora” no Filte

Local: Teatro Martim Gonçalves

Endereço: Rua Marechal Floriano, s/n, Canela.

Dia: 04/09/2012

Horário: 21h

Informações: http://www.ocoteatro.com.br/2012/programacao_detalhes.aspx?id=17

“Eldorado” no Filte

Local: Teatro Martim Gonçalves

Endereço: Rua Marechal Floriano, s/n, Canela.

Dia: 05/09/2012

Horário: 18h

Informações: http://www.ocoteatro.com.br/2012/programacao_detalhes.aspx?id=26

http://www.eduardookamoto.com/eduardo-okamoto-no-filte-em-salvador



ENTRE NOS en Caracas- Venezuela



Caracas.- Dos caras del género femenino en los jueves de teatro del BCV

El jueves 6 de septiembre, a las 4:00 pm, dos personajes femeninos dibujados por el dramaturgo argentino Santiago Serrano tomarán el escenario del auditorio Gastón Parra Luzardo del Banco Central de Venezuela para compartir Entre nos sus opiniones sobre la vida.

En esta pieza de humor negro que se desarrolla en un acto, dos mujeres cuarentonas, una dedicada al hogar y la otra oficinista, se encuentran casualmente en un banco de una plaza y mientras comienzan a intercambiar opiniones sobre lo que representa para cada una ser una mujer, aflora el ego femenino en una infantil competencia que deja al descubierto las diferencias entre ellas.

Con toques de humor, ironía y sentimiento, Serrano lleva a sus personajes a reflexionar sobre el sexo, los hombres, el trabajo, la familia y el amor. La obra aborda el tema de la soledad en la mujer, desde una mirada aguda y respetuosa sobre el género.

Santiago Serrano es licenciado en Psicología, egresado de la Facultad de Psicología de la Universidad de Buenos Aires. Se ha desempeñado como actor, director, dramaturgo, guionista de radio, profesor y escritor. Su trabajo le ha merecido el segundo premio en el VIII Certamen Internacional de Teatro Fundación Ciudad de Requena, España (2005) y el IV Concurso Nacional de Obras de Teatro Breve del Instituto Nacional del Teatro en Argentina.

En esta ocasión, la puesta en escena estará a cargo de la agrupación Seza Producciones, que adaptó la pieza de Serrano al contexto venezolano del siglo XXI. El repertorio musical seleccionado incluye canciones que marcaron pauta en los años 80.

El auditorio Gastón Parra Luzardo está ubicado en el piso 24 de la Torre Financiera del BCV, esquina de Santa Capilla. La entrada es totalmente libre.

sábado, 1 de septiembre de 2012

DINOSSAUROS- El Grupo Cena de Brasilia emprende gira con dos espectáculos

Una comedia romántica y una comedia dramática de dos autores inéditos en Brasil son la esencia del repertorio del Grupo Cena que lleva de gira por ciudades de Minas Gerais y São Paulo, a partir del 16 de agosto y hasta el 31. Los espectáculos Dinossauros y Heróis – o Caminho do Vento, ambos dirigidos por Guilherme Reis, podrán ser vistos de 16 a 19 de agosto, en el Galpão Cine Horto, de Belo Horizonte; dias 23 e 24, en el Teatro Municipal de São João Del Rei; y del 28 a 31 de agosto, en el SESC de Ribeirão Preto.La gira obtuvo el Prêmio Funarte de Teatro Myriam Muniz.

Los dos espectáculos reunen a actores de primera línea del teatro del Distrito Federal, con presencia también en cine y televisión. Estarán en esecna, Murilo Grossi, Chico Sant'Anna, Carmem Moretzsohn, William Ferreira e João Antonio, dando vida a personajes del argentino Santiago Serrano y del francés Gerald Sibleyras.

Dinossauros marcou el estreno de la obra de Santiago Serrano no Brasil y después de este espectáculo fueron estrenadas otras obras del drmatugo como Fronteiras, Eldorado e ....El espectáculo apuesta por la simplciidad de lo que el grupo llama "teatro esencial": o ator e o texto. En escena, la historia de un insólito encuentro en uan madrugada de cualqueir gran ciudad.

Heróis, o caminho do vento, divierte y emociona, al mostrar lo cotidiano de tres ex-combatientes, en un asilo. Las fantasías, los deseos y las provocaciones de los tres viejitos llevan al escenario el diseño sutil de los límites impuestos por la propìa vejez.

Turnê 2012

Heróis, O Caminho do Vento é uma montagem recente do grupo, tendo iniciado sua trajetória em março de 2011, realizando temporadas em Brasília, em Recife (foi convidado para integrar a programação do festival Janeiro dos Grandes Espetáculos/2012) e no Rio de Janeiro (Projeto Mambembão/FUNARTE), iniciando sua participação em eventos e projetos que estimulam a circulação das artes cênicas.

Dinossauros foi a montagem inaugural do grupo, tendo estreado em dezembro de 2005. Desde sua estreia, o espetáculo participou de alguns dos mais importantes eventos do país, sempre com excelente repercussão, merecendo elogios de alguns dos principais críticos brasileiros. Recentemente realizou temporada em Buenos Aires, a convite do Centro Cultural General San Martin.

Grupo Cena


Fundado em 2005, em Brasília, o Grupo Cena vem criando um importante repertório a partir de textos nunca antes encenados no Brasil, com foco na atuação, buscando evidenciar o talento de um importante e experiente grupo de atores e atrizes da cidade. Este trabalho vem rendendo a admiração e o reconhecimento de público e da crítica de Brasília e de diversas cidades, no Brasil e no exterior, onde foram apresentados.


Além de Dinossauros (2005), a primeira peça montada pelo grupo, e Heróis, O Caminho do Vento (2011), o grupo foi responsável pelas montagens de Fronteiras, também de Santiago Serrano (2007); Varsóvia, de Patrícia Suárez (2009) e, mais recentemente, de Bagatelas, da norte-americana Suzan Glaspell (2011), todas sob direção de Guilherme Reis.

Em 2007, o grupo produziu para o Centro Cultural Banco do Brasil, o espetáculo Os Demônios, de Fiodor Dostoievsky, com direção de Antonio Abujamra e Hugo Rodas, apresentado em Brasília e no Rio de Janeiro.

Dinossauros

Um banco, uma luz e dois atores. Isso é o suficiente para criar a atmosfera do espetáculo Dinossauros, que desde sua estreia vem encantando o público com sua simplicidade e singeleza. Sob direção de Guilherme Reis, estão em cena Carmem Moretzsohn e Murilo Grossi. Os atores encarnam dois solitários desconhecidos que, na madrugada de uma grande cidade, se encontram e aos poucos estabelecem uma relação que vai do medo ao companheirismo, chegando sutilmente a uma situação de intimidade entre si e com o público.


Desde sua estreia, o espetáculo participou de alguns dos mais importantes eventos do país, sempre com excelente repercussão, merecendo elogios de alguns dos principais críticos brasileiros. Entre outros, foi apresentado no FILO - Festival Internacional de Londrina (PR), no I Festival Brasileiro de Teatro de Itajaí (SC), no Festival Internacional de Teatro de São José do Rio Preto (SP) e fez temporadas no Espaço SESC, no Rio de Janeiro, no Espaço CPFL, em Campinas (SP), no Espaço BrasilTelecom, em Brasília e no Teatro 25 de Mayo, em Buenos Aires.

Alguns dos mais conceituados críticos do teatro brasileiro escreveram sobre Dinossauros:


Escrito nas estrelas (Sérgio Maggio - Correio Braziliense)


"A harmonia de Dinossauros parte do texto do argentino Santiago Serrano, um achado do diretor Guilherme Reis. De construção humanista, a peça ergue personagens que ultrapassam o arquétipo do solitário urbano. Não dá para perder um artigo, uma vírgula".

Delicadeza (Edelcio Mostaço)

"É o quanto basta – dois atores, um tablado e uma paixão – para ensejar este pequeno estudo de psicologia efetuado, essencialmente, em cima das reações que um provoca no outro".

Provocação e Reflexão (Beth Néspoli – Estado de São Paulo)

"Aparentemente singelo e despretensioso, Dinossauros, dueto de dois ótimos intérpretes, Carmem Moretzsohn e Murilo Grossi, foi outro destaque na reta final do FIT".

Os Dinossauros, nossos irmãos (Kil Abreu)

"Os Dinossauros de Santiago Serrano, autor argentino revelado no FIT pelo pessoal de Brasília, são sujeitos antes de tudo vitimados por paixões tristes. A montagem dirigida por Guilherme Reis encontra os caminhos acertados para valorizar tanto o material dramatúrgico quanto o trabalho dos atores. Pequena grande joia, a montagem reafirma a potência de um teatro econômico nos recursos materiais e valioso no resultado artístico".

Elenco

Carmem Moretzsohn iniciou sua carreira como atriz em 1980. Além do teatro destaca-se também como jornalista e assessora de imprensa especializada na área cultural. No teatro, são 25 anos sem deixar de subir ao palco um único ano. Trabalhou com diretores como Guilherme Reis, Fernando e Adriano Guimarães e Hugo Rodas. Participou da Companhia dos Sonhos dirigida por Hugo Rodas. Em 2005, apresentou o espetáculo Rosa Negra – uma saga sertaneja, onde foi autora do texto e atriz. Em cinema, participou dos filmes Celeste & Estrela (2005), The Book isOntheTable (1999), O Cego que Gritava Luz (1997), Doces Poderes (1997), A República dos Anjos (1991), Césio 137 (1990) e Círculo de Fogo (1990). Participou da montagem da peça Os Demônios, dirigida por Antonio Abujamra e Hugo Rodas, apresentada em Brasília e no Rio de Janeiro. Recentemente atuou em Cabaré das Donzelas Inocentes, de Sérgio Maggio, pela qual recebeu o Prêmio SESC do Teatro Candango.

Murilo Grossi trabalhou com os principais diretores de Brasília, dentre eles Hugo Rodas, Adriano e Fernando Guimarães, Fernando Vilar, Alexandre Ribondi e diretores do Rio e São Paulo, como Naum Alves de Sousa e Hamilton Vaz Pereira. Entre os espetáculos destacam-se Cartas de Um Sedutor, O Olho da Fechadura e Shakespeare in Concert. Em 1995 começa a trabalhar em cinema, sendo ativo participante do cinema brasiliense, bem como um dos atores representativos da chamada retomada do cinema brasileiro, com filmes como Canudos, Doces Poderes, Mauá, Brava Gente Brasileira, entre outros. A extensa produção cinematográfica do ator Murilo Grossi, com 12 longas e 16 curtas, inclui trabalhos com prestigiados diretores como Rui Guerra, Sérgio Rezende, Lúcia Murat e José Eduardo Belmonte. Na televisão atuou em importantes novelas e seriados, entre eles O Clone, Um só coração, Carga Pesada, da TV Globo. Atualmente, pode ser visto como o personagem Henrique, da novela Amor, Eterno Amor.

Heróis, o caminho do vento

A peça coloca em cena três individualidades contrastantes que trazem diferentes sequelas da guerra. Fernando tem um estilhaço de obus (projétil) incrustado no crânio que o faz perder a consciência de vez em quando. René sofre de uma lesão na perna que o impede de caminhar bem. Gustavo é rebelde, tem o orgulho ferido por ter sido abandonado por uma mulher. Em sua conversa diária, são acompanhados apenas pela estátua de um cachorro que, longe de ser um convidado de pedra, se integra ao grupo até o ponto de transformar o trio incomum em um insólito quarteto. A figura do cachorro, que um deles fantasia estar vivo, polariza de certo modo as atitudes dos personagens entre eles e sua relação com o mundo.

René, Gustavo e Fernando já não estão subordinados a uma figura militar de maior patente; agora têm que lidar com a autoridade de uma freira em um regime de vida pleno de restrições e reconciliações. Tudo corre bem, até que um vento ameaça mexer com a rotina dos três militares aposentados: uma reforma pode transformar o terraço que eles tanto prezam em único espaço de lazer do asilo. Um terraço invadido, pensam eles e resolvem tomar uma atitude contra as "artes" da Irmã Madalena, figura alegórica do poder. Mesmo que seja apenas uma fuga para um piquenique no alto do morro, a aventura se transforma em missão e repõe alguma aparência de alegria. Acima de tudo, HERÓIS é uma experiência de amizade. Amigos são os heróis que ajudam a vencer as batalhas da vida.

Cada personagem foi cuidadosamente delineado por Sibleyras para ganhar cena na pele de grandes atores, capazes de provar suas habilidades histriônicas. Na montagem brasileira, estão três gerações de atores de Brasília. Como o ranzinza Gustavo (que ainda age como general e acredita ter forças para fugir daquela situação) está João Antonio, ator, diretor e professor de teatro conceituado na cidade. Cabe ao ator Chico Sant'Anna, premiado em teatro e cinema e com vários papéis na televisão, viver o gentil e bem-humorado René (o único com alguma lucidez). E o ator, bailarino e diretor William Ferreira tem o desafio de dar vida ao doce Fernando, que sofre desmaios em função de um estilhaço de foguete que tem na cabeça. Os três prometem se unir para combater um inimigo comum: a velhice.

Elenco

João Antonio é ator, diretor e professor de teatro. Apoiou a criação de diversos grupos teatrais brasilienses e foi o primeiro assessor da área exclusiva de teatro da Fundação Cultural do DF. Atua nas áreas de Teatro, Cinema, Dança, Televisão, Vídeo e Rádio, desde os anos 60. Participou como diretor e ator em mais de 50 espetáculos teatrais, entre os quais se destacam "O Homem que Enganou o Diabo e ainda Pediu Troco", "O Rei da Vela", "Rosanegra – Uma saga sertaneja" e "Preciosas Promessas", "Pedro e o Lobo" e "Reveillon", sendo dirigido por Laís Aderne, Hugo Rodas, irmãos Adriano e Fernando Guimarães e Guilherme Reis. No cinema atuou sob a direção de Geraldo Moraes, Carlos Del Pino, Pedro Jorge, Sérgio Resende, Renée Sampaio, Emiliano Ribeiro, Suzana Amaral, Mauro Giuntini, e Márcio Curi, entre outros.Em 2010, recebeu Prêmio Especial na Mostra Candanga de Teatro do Sesc, por sua colaboração ao Teatro Brasiliense.

Willian Ferreira é ator, dançarino, professor e diretor, com vasta atuação no teatro, dança e cinema. Entre seus últimos trabalhos no teatro, destacam-se "A Obscena Senhora D", "Os Demônios" e "Resta Pouco a Dizer". Dirigiu a peça "Cabaré das Donzelas Inocentes", para o CCBB Brasília. Em cinema, atuou no longa "Araguaya – A Conspiração do Silêncio", de Ronaldo Duque e nos curta-metragens "Maria Morango", de Érico Cazarré; "Uma Questão de Tempo", de Catarina Accioly e Gustavo Galvão e "As Incríveis Bolinhas do Dr. Sorriso Sarcástico", de Gustavo Galvão. Na televisão, participou das novelas "A Favorita", de João Emanuel Carneiro, e "Viver a Vida", de Manoel Carlos, entre outras.

Chico Sant'Anna iniciou sua carreira profissional em 1980, ao lado de Bibi Ferreira, com "Gota d'Água", sob a direção de Gianni Rato, e nos anos seguintes participou de inúmeros espetáculos entre os quais "Os Rapazes da Banda", "Macbeth Mauser", "Viúva, Porém Honesta", "Arlequim, Servidor de 2 Patrões", "Rosanegra, uma Saga Sertaneja", "Biografia não autorizada de uma família", "Os Demônios", "Fronteiras", "Cru", sendo dirigido por Dimer Monteiro, irmãos Adriano e Fernando Guimarães, Hugo Rodas, Sura Berditchevsky, Antonio Abujamra, Alexandre Ribondi e Guilherme Reis. No Cinema, atuou em "Louco por Cinema", de André Luis Oliveira, "Uma Vida em Segredo", de Suzana Amaral, "Subterrâneos", de José Eduardo Belmonte, "Simples Mortais", de Mauro Giuntini, (Melhor Ator no CINE-PE/Recife/2008) e "Cru", de Jimi Figueiredo. Na televisão participou de "Cabocla", "O Rei do Gado", "Mad Maria", "JK", "Amazônia" e "Insensato Coração" entre outros. Recentemente recebeu o prêmio de melhor ator pela atuação no filme "Cru", de Jimi Figueiredo,

GUILHERME REIS - DIRETOR

Como ator participou de inúmeras montagens teatrais, entre as quais destacam-se: Os Saltimbancos, O Noviço, A Vida É Sonho, O Exercício, Pequenos Burgueses, Um Grito Parado no Ar, Caça aos Ratos, Mão na Luva, Valsa Americana, Vestido de Noiva, Arlequim Servidor de Dois Amos e Álbum Wilde, sendo dirigido por diretores como Hugo Rodas, Antonio Abujamra, Zeno Wilde, B. de Paiva, Fernando e Adriano Guimarães, entre outros. Dirigiu os espetáculos A Revolução dos Bichos (1980), Chapeuzinho Amarelo (1981), Pedro e o Lobo (1983 e 1994), A Hora do Pesadelinho (1991), Reta do Fim do Fim (Prêmio Villanueva de Melhor Espetáculo Estrangeiro de 1997 em Cuba), Movimentos do Desejo (1998), Reveillon (1999) e Dinossauros, de Santiago Serrano, com Murilo Grossi e Carmem Moretzshon. Em cinema atuou em O Sonho Não Acabou, de Sérgio Resende; A República dos Anjos, de Carlos Del Pino; Louco Por Cinema, de André Luiz Oliveira; O Cego Que Gritava Luz e O Tronco, ambos de João Batista de Andrade e "Sagrado Segredo, também de André Luis de Oliveira. Foi co-roteirista e diretor de elenco de Araguaya, A Conspiração do Silêncio, de Ronaldo Duque. Criou e é diretor do Cena Contemporânea – Festival Internacional de Teatro de Brasília. Com o Grupo Cena, dirigiu Dinossauros, Fronteiras (de Santiago Serrano), Varsóvia, de Patrícia Suarez, e Bagatelas, de Susan Glaspell, além de ter atuado no espetáculo Os Demônios, de Dostoievski, com direção de Hugo Rodas e Antonio Abujamra. No momento, prepara o mais novo trabalho da companhia, Inventários, de Phillippe Myniana.

PROGRAMAÇÃO

BELO HORIZONTE – GALPÃO CINE HORTO

16.08 – 21h – Heróis, o caminho do vento

17.08 – 19h – Dinossauros

21h – Heróis, o caminho do vento

18.08 - – 19h – Dinossauros

21h – Heróis, o caminho do vento

19.08 – 19h – Dinossauros


SÃO JOÃO DEL REI – TEATRO MUNICIPAL

23.08 – 19h – Dinossauros

21h – Heróis, o caminho do vento

24.08 – 19h – Dinossauros

21h – Heróis, o caminho do vento


RIBEIRÃO PRETO

28.08 – 19h e 21h – Heróis, o caminho do vento

31.08 – 19h e 21h - Dinossauros